Le principe reste le même pour tous les instruments. La réalisation du vibrato se produit en faisant varier la hauteur d'une note, plus ou moins vite, avec plus ou moins d'amplitude. Là où le geste diffère, c'est sur la partie technique. Le vibrato en violon, et sur tous les instruments à cordes, nécessite un apprentissage afin de faire osciller la corde tenue pour produire cette variation régulière. C'est exclusivement dans le travail du bras, du poignet et du doigt que se concentre le caractère de réussite, bien que la technique requiert également un certain lâcher-prise de l'ensemble du corps. Dans la famille des instruments à vent, le vibrato peut s'obtenir de façon mécanique, mais aussi de façon plus naturelle avec un jeu sur le souffle semblable à celui produit par la voix. Comme pour le chant, la technique du vibrato sert dans l'expressivité du musicien, sur des passages qui nécessitent un appui particulier. Son utilisation parcimonieuse le rend encore plus délectable.
Cabaner : Chavirer sans dessus dessous en parlant d'une embarcation.Cabestan : Treuil vertical servant à actionner mécaniquement ou à bras les barbotins.Cabillot : Chevilles en bois ou en métal qui traversent les râteliers et auxquelles on amarre les manoeuvres courantes au pied des mâts ou en abord.Câblot : Petit câble d'environ 100 mètres de longueur servant à mouiller les embarcations au moyen d'un grappin ou d'une petite ancre.Cabotage : Navigation entre deux ports d'une même côte ou d'un même pays.Caillebotis : treillis en bois amovible servant de parquet et laissant écouler l'eau.Calfatage : Opération qui consiste à remplir d'étoupe, au moyen d'un ciseau et à coups de maillet, les coutures des bordages ou des ponts en bois d'un navire afin de les rendre étanches. L'étoupe est ensuite recouverte de brai.Calier : Homme employé spécialement à la distribution de l'eau douce.Caliorne : Gros et fort palan destiné aux manoeuvres de force.Cap de mouton : Morceau de bois plat et circulaire percé de trois ou quatre trous dans lesquels passent des rides pour raidir les haubans, galhaubans, etc...Cape (à la) : On dit qu'un navire est à la cape quand, par gros temps, il réduit sa voilure ou diminue la vitesse de sa machine en gouvernant de façon à faire le moins de route possible et à dériver le plus possible pour éviter les effets de la mer.Capeler : Capeler un mât, c'est faire embrasser la tête du mât par toutes les manoeuvres dormantes qui doivent entourer cette tête et s'y trouver réunies.Capeyer : Tenir la cape.Capon : Palan qui servait à hisser l'ancre sur les anciens navires (bossoirs de capon).Carène : Partie immergée de la coque d'un navire.Caréner (un navire) : Nettoyer et peindre sa carène.Cartahu : Cordage volant, sans affectation spéciale, destiné à hisser ou amener les objets qu'on y attache. Les cartahus de linge servent à mettre le linge au sec ; ils se hissent parfois entre les mâts de corde.Chadburn : Système mécanique employé pour transmettre les ordres de la passerelle aux machines (marine de commerce).Chambre (d'embarcation) : Partie libre, à l'arrière de l'embarcation où peuvent s'asseoir les passagers.Chandeliers : Barres généralement en acier fixées verticalement en abord d'un pont, autour des panneaux et des passerelles pour empêcher les chutes. Les chandeliers sont percés de trous dans lesquels passent les tringles ou les filières de garde-corps.Chapelle, Faire chapelle : Se dit d'un navire qui, marchant, sous un vent favorable, vient à masquer par suite, d'une cause quelconque et est obligé de faire le tour pour reprendre les mêmes amures.Charnier : Tonneau à couvercle, ayant généralement la forme d'un cône tronqué et dans lequel étaient conservés les viandes et les lards salés pour la consommation journalière de l'équipage (ancien). Par extension réservoir rempli d'eau potable.Chasser (sur son ancre) : Entraîner l'ancre par suite d'une tenue insuffisante de fond.Château : Superstructure établie sur la partie centrale d'un pont supérieur et qui s'étend d'un côté à l'autre du navire.Chatte : Grappin à patte sans oreilles dont on se sert pour draguer les câbles ou les objets tombés à la mer.Chaumard : Pièce de guidage pour les amarres solidement fixées sur le pont dont toutes les parties présentent des arrondis pour éviter d'user ou de couper les filins.Chèvre : Installation de trois mâtereaux réunis à leur tête pour les manoeuvres de force.Choquer : Filer ou lâcher un peu de cordage soumis à une tension.Claire : Ancre haute et claire : ancre entièrement sortie de l'eau, ni surpattée, ni surjalée. On dira de même : manoeuvre claire, pavillon clair.Clan : Ensemble formé par un réa tournant dans une mortaise qui peut être pratiquée dans un bordage, une vergue ou un mât.Clapot : Petites vagues nombreuses et serrées qui se heurtent en faisant un bruit particulier.Clapotis : Etat de la mer qui clapote ou bruit de clapot.Clin : Les bordages sont disposés à clin quand ils se recouvrent comme les ardoises d'un toit : embarcation à clins.Clipper : Nom donné à un voilier fin de carène, spécialement construit pour donner une grande vitesse (clipper du thé, de la laine).Coaltar : Goudron extrait de la houille (protège le bois de la pourriture).Coffre : Grosse bouée servant à l'amarrage des navires sur une rade.Connaissement : Document où est consigné la nature, le poids et les marques des marchandises embarquées. Cette pièce est signée par le capitaine après réception des marchandises avec l'engagement de les remettre dans l'état où elles ont été reçues, au lieu de destination sauf périls et accidents de mer.Conserve, Naviguer de conserve : Naviguer ensemble (un bâtiment est ainsi "conserve" d'un autre).Contre-bord (navire à) : Navire faisant une route de direction opposée à celle que l'on suit.Coque : Boucle qui se forme dans les cordages.Coqueron : Compartiment de la coque souvent voisine de l'étrave ou de l'étambot, servant e soute à matériel.Corde : Ce mot n'est employé par les marins que pour désigner la corde de la cloche.Cornaux : W-C. de l'équipage consistant en auges inclinées qui découlent dans les conduits aboutissant à la mer; les cornaux étaient autrefois placés à tribord et à bâbord sur le plancher de la poulaine.Corps-morts : Chaînes et ancres disposées au fond de la mer, solidement retenues par des empennelages, et dont une branche qui part dès la réunion des chaînes est nommée itague revient au-dessus de l'eau où elle est portée par un corps flottant (bouée ou coffre).Coupée : Ouverture pratiquée dans les pavois ou dans le bastingage permettant l'entrée ou la sortie du bord.Couples : Axes de charpente posés verticalement sur la quille.Coursive : Terme général pour désigner des passages étroits tels que ceux qui peuvent se trouver entre des chambres ou autres distributions du navire.Crachin : Pluie très fine. Crachiner.Crapaud (d'amarrage) : Forts crampons pris sur le fond et servant au mouillage des coffres et des grosses bouées.Crépine : Tôle perforée placée à l'entrée d'un tuyautage pour arrêter les saletés.Croisillon : Petite bitte en forme de croix.Croupiat : Grelin de cordage quelconque servant à amarrer l'arrière d'un navire à un quai ou à un bâtiment voisin. Faire croupiat : appareiller le navire en s'aidant d'une amarre pour éviter le navire vers la sortie du port ou du bassin.Cul : Fond, partie arrière, basse ou reculée, d'un objet.Cul d'une poulie : Partie de la caisse opposée au collet.Cul de poule : Arrière allongé et relevé.Cul de porc : Sorte de noeud.Culer :En parlant d'un navire : marche arrière en avant.
Quest-ce Que Une Corde De Chatte Faire
Fabriquer un griffoir pour son chat ? Pour quoi faire ? Pour le bien-être de votre chat (et sauver vos meubles), il est important de lui laisser un grattoir à disposition. Vous pourrez en trouver dans le commerce en corde de sisal ou en carton, intégrés ou non à un arbre à chat. Mais pour les petits budgets ou les âmes créatives, il est tout à fait possible de créer un griffoir soi-même ! 2ff7e9595c
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